Après deux années consécutives où l’ombre du Kremlin planait sur les lauréats du prix Nobel de la paix, le comité a choisi de prendre ses distances en se tournant vers la cause féminine en Iran.
Parmi les 351 candidatures enregistrées cette année, le Comité Nobel norvégien a fini par trancher. Et contrairement à la rumeur insistante qui prédisait une édition sans lauréat, le prix Nobel de la paix a finalement été décerné à la militante iranienne Narges Mohammadi ce vendredi 6 octobre.
Une décision logique, mais qui tord le cou aux nombreux pronostics qui voyait cette année encore Volodymyr Zelensky décrocher cette haute distinction après le déclenchement de la guerre en Ukraine.